Le Centre national du cinéma et de l’image animée, anciennement Centre national de la cinématographie, toujours désigné par le sigle CNC, est un établissement public à caractère administratif français, doté de la personnalité juridique et de l'autonomie financière. Il a été créé par la loi du 25 octobre 1946. Il est placé sous l'autorité du ministère chargé de la Culture. Le CNC est actuellement présidé par Véronique Cayla (source : Wikipédia).
Le CNC est doté d’une commission, « Image de la diversité » assortie d’un fonds (8,7 millions d’euros sur la période 2007/2008). Son but est d’attribuer des aides aux œuvres cinématographiques et audiovisuelles contribuant à la représentation de la diversité en France.
Ce fonds a dernièrement soutenu les films les plus convenus comme : Entre les murs, Welcome, Neuilly sa mère, la série Tv Plus belle la vie et le téléfilm Aïcha de Yamina Benguigui. Des choix conformes à l’idéologie dominante et aux critères imposés par la police de la pensée (source : Novopress).
Ci-dessous, une vidéo datant de 1997 du comédien et humoriste belge Benoît Poelvoorde :
La lampe fluorescente, aussi appelée lampe fluorescente compacte (LFC) ou plus simplement fluocompacte, est une adaptation du tube industriel à un usage domestique.
Voici, selon l'encyclopédie Wikipédia en ligne, ses inconvénients pour la santé :
" La présence de poudres fluorescentes et d'un gaz à base de vapeur de mercure dans le tube, non dangereuses en cours d'utilisation, fait que ces lampes constituent un déchet dangereux nécessitant une élimination particulière (cf. paragraphe Environnement). Aussi, lors du bris d'une telle lampe, convient-il de bien aérer la pièce (particulièrement si elle est fréquentée par de jeunes enfants, les vapeurs de mercure s'accumulant au sol). Il faut cependant savoir que la quantité de Mercure présent dans ces lampes est très faibles et ne présente aucun danger à de telles concentrations.
Ces lampes émettent des UV (quoique en proportion variable selon les modèles, la couche fluorescente de la lampe étant censée les absorber et ne réémettre que de la lumière visible - de spectre discret), responsables de cancers de la peau, kératites, cataractes, voire de DMLA (et ce d'autant plus si l'exposition a commencé dès l'enfance, puique le cristallin n'a pas encore jauni, l'oeil étant alors dépourvu d'un filtre efficace).
La lumière réémise par la couche phosphorescente contient un spectre bleu de forte intensité, dangereux pour la rétine (particulièrement chez les jeunes là encore, et pour les mêmes raisons que précédemment), même en vision périphérique. Ces lampes peuvent également émettre dans d'autres fréquences du spectre électromagnétique, à savoir ondes radio basses fréquences (50 à 500 Hz, générées par le ballast et 20 à 60 kHz, générées par le correcteur d'intensité), affectant les personnes dites électro-sensibles et provoquant chez elles céphalées, fatigue ou démangeaisons, etc. "
Selon la journaliste scientifique Annie Lobé (vidéo ci-dessous), l’introduction massive des ampoules à basse consommation – qui se substitueront progressivement aux ampoules à incandescence traditionnelles, et qui devraient totalement les remplacer dès 2016 – pourrait entraîner un problème majeur de santé publique...
Les Guadeloupéens auraient donc été utilisés comme cobayes avec les résultats qu'on connaît ?... Et voilà qui n'aurait pas empêché la commercialisation universelle de ces lampes et leur consommation obligatoire... Merci Annie Lobé !
L'histoire de la traite soulève de nombreux débats parmi les historiens. Les spécialistes s'interrogent en premier lieu sur le nombre d'Africains déportés. La question est difficile à résoudre à cause du manque de statistiques fiables : il n'existe aucun recensement systématique en Afrique au Moyen Âge, alors que les archives sont beaucoup plus fournies en ce qui concerne la traite atlantique (XVIe–XVIIIe siècles), bien que les livres de compte aient été souvent falsifiés. L'historien doit utiliser des documents narratifs et imprécis et faire des estimations soumises à caution : Luiz Felipe de Alencastro annonce 8 millions d'esclaves africains déportés entre le VIIIe et le XIXe siècle par la traite arabe et transsaharienne. Christian Delacampagne propose le chiffre de 11 millions en se basant sur l'étude de Ralph Austen. Olivier Pétré-Grenouilleau a avancé le chiffre de 17 millions de Noirs réduits à l'esclavage (pour la même période et la même aire) lui aussi sur la base des travaux de Ralph Austen - ce dernier évaluant la marge d'erreur de ses estimations à 25 %. Pour Jean Sévilla, 12 millions d'Africains ont été déportés par la traite arabe. D'autres sources évoquent un total de plus de 4,5 millions d'esclaves noirs déportés hors d'Afrique par la traite arabe rien qu'au XIXe siècle.
Pour certains, évoquer le passé négrier des musulmans revient à essayer de minimiser la traite transatlantique. Pourtant, « la traite vers l'océan Indien et la Méditerranée est bien antérieure à l'irruption des Européens sur le continent ». Paul Bairoch avance le chiffre de 25 millions de Noirs ayant subi la traite arabe contre 11 millions ayant subi celle des Occidentaux.
Le deuxième obstacle à l'histoire de la traite arabe est celui des sources. Des documents étrangers aux cultures africaines sont à notre disposition : ils sont écrits par des lettrés qui s'expriment en arabe et nous proposent un regard partial et souvent condescendant sur le phénomène étudié. Il est vrai que depuis quelques années, la recherche historique sur l'Afrique connaît un formidable essor, grâce à l'utilisation de nouvelles méthodes et à de nouveaux questionnements. L'historien croise les apports de l'archéologie, de la numismatique, de l'anthropologie, de la linguistique et de la démographie pour pallier les carences de la documentation écrite (source : Wikipédia).
Ci-dessous, deux vidéos analysant les différences entre l'esclavage occidental et arabo-musulman. Encore faudrait-il que le grand public sache que ce dernier a existé et continue d'exister. Il ne faut évidemment pas compter sur les « grands » médias pour le faire.
Nissa Rebela rend hommage aux victimes niçoises de l’esclavage mauresque :